200 écrivains s'étaient donnés rendez-vous et leurs fidèles lecteurs n'auraient manqué pour rien au monde ce grand moment: la rencontre avec leurs auteurs préférés et la dédicace de leurs derniers livres.
Immédiatement en rentrant, on ne pouvait que remarquer Jean d'Ormesson, l'homme de lettres et académicien aux yeux bleus et aux cheveux blancs comme neige. Sagement assis derrière sa table, il signait et signait, tout souriant. Je lui ai tendu mon exemplaire de "Et toi mon coeur pourquoi bats-tu", livre où il a recueilli tous les extraits de littérature et de poésie qu'il chérit.
De l'autre côté des tables, la foule se pressait devant Frédéric Beigbeder. Mais étaient aussi assaillis Edouard Balladur, Jean-Louis Debré et Valery Giscard d'Estaing; les hommes politiques devenus écrivains.
Immédiatement en rentrant, on ne pouvait que remarquer Jean d'Ormesson, l'homme de lettres et académicien aux yeux bleus et aux cheveux blancs comme neige. Sagement assis derrière sa table, il signait et signait, tout souriant. Je lui ai tendu mon exemplaire de "Et toi mon coeur pourquoi bats-tu", livre où il a recueilli tous les extraits de littérature et de poésie qu'il chérit.
De l'autre côté des tables, la foule se pressait devant Frédéric Beigbeder. Mais étaient aussi assaillis Edouard Balladur, Jean-Louis Debré et Valery Giscard d'Estaing; les hommes politiques devenus écrivains.
Plus loin, Stéphane Bern, droit comme un i et tout sourire. La chaise vide de Patrick de Carolis.
Nicole Lambert et ses albums des Triplés. En face d'elle, trois Jean: Sévillia, le journaliste, Raspail, le romancier, Tulard, l'historien.
Philippe Tesson et son fils Sylvain déambulaient entre les tables. Le père, chroniqueur au Figaro Magazine et à Valeurs Actuelles, regardait le fils avec fierté. Sylvain Tesson a parcouru le monde entier à pied, à vélo, à cheval et écrit les récits de toutes ses aventures.
Caroline Pigozzi, journaliste à Paris Match, présentait son dernier livre "Les robes rouges", consacré aux Princes de l'Eglise: vingt cardinaux y sont présentés et interviewés.
Au fond dans les dernières tables, Michel Déon, tout penché sur sa table, s'appliquait à dédicacer son dernier livre. Un grand écrivain français qui, au crépuscule de sa vie, laisse derrière lui une oeuvre admirable. En le voyant ainsi, je n'ai pu m'empêcher de me remémorer "Un déjeuner de soleil", l'histoire d'un écrivain dont la vie trépidante est inventée de toutes pièces, ainsi que la liste innombrable de ses romans. Un chef d'oeuvre à lire absolument.
Philippe Tesson et son fils Sylvain déambulaient entre les tables. Le père, chroniqueur au Figaro Magazine et à Valeurs Actuelles, regardait le fils avec fierté. Sylvain Tesson a parcouru le monde entier à pied, à vélo, à cheval et écrit les récits de toutes ses aventures.
Caroline Pigozzi, journaliste à Paris Match, présentait son dernier livre "Les robes rouges", consacré aux Princes de l'Eglise: vingt cardinaux y sont présentés et interviewés.
Au fond dans les dernières tables, Michel Déon, tout penché sur sa table, s'appliquait à dédicacer son dernier livre. Un grand écrivain français qui, au crépuscule de sa vie, laisse derrière lui une oeuvre admirable. En le voyant ainsi, je n'ai pu m'empêcher de me remémorer "Un déjeuner de soleil", l'histoire d'un écrivain dont la vie trépidante est inventée de toutes pièces, ainsi que la liste innombrable de ses romans. Un chef d'oeuvre à lire absolument.
Photos: leschroniquesdelouise
dommage qu'il n'y est pas eu assez de pub... j'y serai allé avec plaisir.
RépondreSupprimerJ'admire beaucoup Sylvain Tesson. Ses "Aphorismes sous la lune et autres pensées sauvages" sont un vrai régal, une redécouverte de la nature teintée d'humour. Très rafraîchissant!